Bonjour Hervé, pourriez-vous présenter votre parcours ainsi qu’Atinvest ?
Bonjour, je m’appelle Hervé Hamy je suis le gérant d’Atinvest. Concernant mon parcours, j’ai fait une école de commerce NEOMA. J’ai commencé, comme beaucoup de personnes, dans l’audit pendant 2 ans chez Mazars où j’ai découvert l’immobilier. Puis je suis rentré chez Cogedim où j’ai fait de la promotion immobilière. Ensuite, chez Paris Ouest immobilier dans les années 90 et je suis parti chez Nexity (2000) en tant que spécialiste du commerce pour le compte du groupe Nexity d’une petite structure qui s’appelle Novim pendant 6 ans.
Depuis 2005, je suis à mon compte en tant que Broker, en tant que B2B. Je travaille depuis 20 ans avec des investisseurs sur des produits d’investissement. Mes clients sont des SCPI, banques, assurances, Family office privé, petits et grands, qui veulent investir dans l’immobilier d’entreprise, donc essentiellement du commerce et du retail park. Je suis le gérant de Atinvest.
Atinvest intervient sur toute la France dans différentes branches d’activités : la vente, la location et l’achat de biens d’immobilier d’entreprise.
Pourquoi avoir choisi l’immobilier ? Qu’est-ce qui vous plaît dans ce secteur ?
Sortant d’une école de commerce, je suis d’abord passé par l’audit. À l’époque, l’immobilier n’était pas une branche qui attirait particulièrement les écoles de commerce. J’ai mis les pieds dans l’immobilier en 1988, quand on parlait des golden boys de l’immobilier. L’argent ne m’attirait pas plus que ça, c’est plutôt le métier de responsable de programmes qui m’amusait. J’ai eu l’occasion de rentrer dans une belle boutique qui s’appelait à l’époque Cogedim. Je suis tombé par hasard dans l’immobilier et je n’en suis jamais sorti. J’ai fait tous les métiers de cette branche, j’ai eu tous les titres à part président.
Quel est votre sentiment sur la situation actuelle, êtes-vous optimiste ? Quel a été l’impact du Covid sur vos équipes et votre business ?
Optimiste oui, parce que lorsque tout le monde sera vacciné, la vie reprendra son cours normal, j’espère le plus tôt possible, d’ici la fin de l’année, pour que l’on puisse réouvrir les hôtels et les restaurants. Je me balade beaucoup, et je vous avoue que ce n’est pas très agréable de rentrer à 18h et de rester enfermé dans une chambre jusqu’au lendemain matin.
Concernant le business, ma branche c’est l’investissement immobilier, et plus particulièrement l’immobilier d’entreprise. Je crois que l’an dernier l’investissement a baissé de 35% et étonnamment dans ma petite structure, je me suis rendu compte que mon chiffre d’affaires avait baissé de 35% également, donc j’ai suivi le marché, même si je suis un grain de sable dans le Sahara !
Par contre, il y a des deals qui ont glissé sur le début de cette année, et entre ce qui a été signé et ce qui est dans les tuyaux sécurisés, font que cette année est déjà faite a minima. Je travaille maintenant pour récupérer les pertes de l’an dernier. Très optimiste, il y a beaucoup de boulot et ce que je peux dire, c’est que les deals que j’ai pu faire sur l’année dernière et ceux de début d’année se sont vendus à des taux ante-covid. Tout le monde pense que des actifs vont arriver à la casse, moi je n’en ai pas vu un seul.
Depuis combien de temps utilisez-vous Telescop et pourquoi avoir choisi cette plateforme ?
J’utilise Telescop depuis 3 ans, parce que je fais parti du réseau 3c.com. J’ai découvert l’application et je suis devenu un aficionado depuis le milieu de l’année dernière. La plateforme aurait pu, va et pourra me faire faire des affaires assez impressionnantes. A titre d’exemple, on a eu un institutionnel européen qui vendait dans une des grandes artères de Paris un immeuble de 5 300 mètre carré, 120 millions d’euros. J’ai été voir dans cette rue, tous les immeubles indépendants et les propriétaires qui étaient renseignés. Je les ai appelé et l’un d’eux avait 120 millions à placer. Il a donc fait une offre sans condition de financement. Malheureusement le vendeur a reculé pour d’autres raisons, alors que dans les faits c’était une offre qu’il n’aurait pas dû refuser, puisque il y a deux ans ces dernières s’élevaient aux alentours de 90 millions.
Ca aurait pu être la consécration, une chose que l’on fait qu’une fois dans une vie de Broker, et c’était grâce à Telescop.
Qu’est-ce que Telescop a changé dans votre quotidien et celui de Atinvest ?
Je travaille beaucoup sur les zones commerciales, donc j’ai des biens à vendre sur ces zones. Je me renseigne sur place, mais il n’est pas toujours possible de remonter jusqu’au propriétaire. Telescop m’a donné cette possibilité, de remonter jusqu’au propriétaire, ce qui est un réel avantage.Ce qui m’a aussi servi c’est de faire les références de signature passées sur les secteurs que j’étudie. Tous ces services sont regroupés sur la même plateforme ce qui est très pratique. Cela constitue un gain de temps énorme pour moi et mon entreprise.
Avez-vous un conseil pour nos utilisateurs sur la manière d’utiliser la plateforme ?
Ce qui est super, c’est d’avoir une formation et qu’une personne soit dédiée à nous aider et répondre à nos questions. Cette formation nous permet de pouvoir manier la plateforme. C’est un service que vous offrez qui est super et je suis très satisfait de Telescop.
