Bonjour, pourriez-vous nous présenter votre parcours ?
Bonjour, bien sur ! Je suis Xavier Belvaux. Après un parcours en immobilier professionnel d’une vingtaine d’année, j’ai rejoint le réseau Orpi il y a 4 ans.
Pourquoi avoir choisi l’immobilier ? Qu’est qui vous plaît dans ce secteur ?
Je dirai que l’immobilier dans sa totalité est une passion pour moi : être proche des gens à chaque étape de leur projet de vie m’a toujours rendu content.
Le fait de maîtriser l’ensemble de la chaîne immobilière me permet d’être polyvalent et agile.
L’immobilier est le secteur qui ressemble le plus à ma personnalité. Mon tempérament est vif, je déteste m’ennuyer, c’est un univers captivant ! Grâce à l’immobilier, je suis pleinement épanoui : aucune journée ne se ressemble !
Quel est votre rôle au sein d’ORPI aujourd’hui ?
Je suis le directeur Business Development, mon périmètre s’étend au développement de l’immobilier professionnel pour le réseau à travers différentes productions comme :
- la marque fille que nous avons créé : OrpiPro, qui a pour objectif de devenir un acteur incontournable de la petite et moyenne surface
- le développement de notre marque Orpi sur le plan national mais aussi à l’étranger
- la gestion des relations avec nos partenaires et de la stratégie autour
J’ai également créé un pôle « Analyses et valorisation » afin de pouvoir centraliser notre donnée business et fournir à nos associés un certain nombre de statistiques dans le but de les aider dans leur développement.
Enfin, j’intègre dans mes missions toute la partie stratégie autour des nouvelles activités pour le réseau.
Quel est votre sentiment sur la situation actuelle dans l’immobilier commercial et l’immobilier d’habitation ?
Pour l’immobilier d’habitation, cette période post COVID est très dynamique : il y a un effet de rattrapage sur toutes les transactions qui n’ont pas pu se faire pendant le confinement. Concernant l’immobilier commercial et d’activités, la demande reste forte, mais nous notons un ralentissement sur les cessions de fonds de commerce plus durement impactés et notamment la partie CHR.
Quel a été l’impact du Covid sur vos équipes, vos agences, votre business ?
Durant la période de confinement, l’activité des agences a été très fortement impacté. En effet nous avons dû fermer l’ensemble de nos agences afin de respecter les recommandations sanitaires et de ne prendre aucun risque. Nous avons bien sur continué à travailler pour soutenir l’ensemble de nos associés en leur mettant en place des moyens importants pour les aider à passer le cap et pour pouvoir, aussitôt la fin du confinement, se concentrer sur leurs opérations en cours et les nouvelles à venir.
Etes-vous positif pour la suite ?
Il est toujours difficile de faire des prévisions sur l’évolution du marché immobilier et dans le contexte actuel il serait précoce de se prononcer sur l’avenir.
Cependant à date le réseau a su rebondir. Je pense que le dernier quadrimestre sera révélateur mais à ce jour même si les stocks sont plus durs à reconstituer la demande est bel et bien là !
Pourquoi avoir choisi Telescop ? Qu’est-ce que notre plateforme a changé dans le quotidien de vos équipes ?
Telescop est un outil dont on ne peut plus se passer ! En effet il nous a permis de moderniser notre prospection mais aussi de recueillir et centraliser des données pour densifier nos études.
Quels sont les avantages de cet outil et quels sont les évolutions que nous devrions rajouter ?
Cet outil est doté de nombreux avantages. Je dirai pour commencer sa simplicité, son ergonomie est également agréable et très fluide, c’est une solution adaptée au terrain.
Je ne vois pas d’amélioration à apporter pour l’instant, cet outil ne comporte que des points positifs !
Est-ce que vous avez une idée du chiffre d’affaires généré grâce à Telescop ?
Ce n’est pas l’augmentation du chiffre d’affaires à l’instant T que nous avons retenu chez Orpi, mais plutôt l’outil en lui-même. En effet, il nous permet de justifier du sérieux de notre accompagnement donc de maintenir nos honoraires et d’accroître notre taux de pénétration du marché que nous visons.